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“Eh bien, je comprends les Abruzzo. D’accord” *
Ils ont dit de l’Autorité portuaire. Ils l’ont dit quand Agip Abruzzo a donné l’alerte à l’incendie survenu suite à la collision avec une barge fantôme, le soir tragique du 10 avril 1991, dans le port de Livorno.
Lorsque l’accident en mer s’est produit, le commandant de l’autorité portuaire Sergio Albanese n’était pas là, puisqu’il se trouvait à La Spezia pour des obligations de représentation au commandement en chef. Il est donc arrivé plus tard, à Livorno.
Lors de l’audition de la Commission parlementaire d’enquête sur les causes de la catastrophe du ferry Moby Prince, qui a eu lieu le 7 juin 2016 et s’est précisément concentrée sur lui, il a lui-même déclaré :
“J’étais encore à La Spezia et je ne savais rien de ce qui s’était passé car il n’y avait pas de connexions. Après avoir dit au revoir à tout le monde, j’ai quitté La Spezia, demandant au chauffeur – comme toujours – d’aller lentement, considérant également qu’il C’était le soir : une heure et demie, presque deux heures pour arriver à Livorno. En attendant, je ne savais rien, j’ignorais complètement tout.
Le président de la Commission lui a demandé : “Alors, tu découvres ce qui s’est passé quand tu arrives à Livorno?”
Et il a répondu :
“Maintenant, nous y arrivons, car je voudrais d’abord conclure le discours que je faisais …”
Et Sergio Albanese a poursuivi sa longue relation qu’il n’avait commencée qu’à être interrompue par les questions de la Commission. Un reportage qui concernait d’abord son CV décent et ensuite tous les problèmes judiciaires auxquels il a dû faire face suite à des accusations de journalistes, des garanties et des plaintes de proches des victimes de la catastrophe de Moby Prince. Il en vint donc finalement à répondre à la question précise du président de la Commission :
“À 23 heures, je suis arrivé à l’autorité portuaire et sur la place, des ambulances étaient déjà garées avec des lumières bleues en fonctionnement pour aider les naufragés. Le commandant en second m’a rencontré et, dans divers détails, m’a expliqué la situation d’urgence en acte depuis plus de la moitié une heure, faisant état des mesures prises, des navires naviguant déjà vers Agip Abruzzo et des causes probables de l’incendie, ainsi que de l’éperonnage du pétrolier par une unité mineure, peut-être une barge.Le capitaine de la corvette Canacci s’est également approché, chef de la section opérationnelle pendant les heures de service, qui était arrivé peu avant et attendait les ordres, car il s’agissait d’un officier d’un rang inférieur à ceux qui étaient en charge du centre des opérations en la circonstance et déjà engagé dans diverses communications selon le sauvetage plan Canacci avait déjà pris ses mesures, appelant les remorqueurs, les pompiers, les carabiniers, la police des finances.
J’ai regardé dans la salle des opérations et j’ai constaté que l’officier d’inspection était le capitaine de frégate Lorenzo Checcacci, bien connu comme un bon officier déjà employé par moi à la capitainerie du port de Cagliari, en tant que commandant du patrouilleur offshore Dante Novaro, à l’époque l’unité la plus prestigieuse située en Sardaigne, j’ai décidé de laisser à la direction de la coordination les différents contacts avec les moyens navals des sauveteurs et la recherche et l’identification de l’unité investisseuse. J’ai confié au commandant en second la tâche des liaisons extérieures par téléphone, avec les autres commandements équipés de véhicules nautiques et avec les autorités locales (préfecture, préfecture de police, médecin et pharmacien du port etc.) et organismes supérieurs non encore alertés.. . “
* Puis, alors que le capitaine Sergio Albanese était en déplacement, l’appel à l’aide d’Agip Abruzzo a été lancé depuis Livourne par l’opérateur radio Imperio Recanatini :
« Livourne se voit ! Vous la voyez de vos yeux ! Feu à bord !
Sortez et voyez les flammes !
Feu à bord !”
Et de la part de l’Autorité portuaire (QUI ? QUI ÉTAIT LA VOIX ? IL NE ME SEMBLE PAS QU’ELLE A ÉTÉ CLARIFIÉE DANS L’ENQUÊTE DE LA COMMISSION ?) :
“Compris, mais qui est le vaisseau en feu ?”
Et l’opérateur radio :
“Voici maintenant un abattoir”
Et depuis la Capitainerie :
“Eh bien, je comprends les Abruzzo. D’accord”
MAIS COMPRENDRE QUOI ?!?! (JE PENSE)
Et l’opérateur radio :
“On dirait une péniche qui nous est tombée dessus”
MAIS DÉSOLÉ? UN ABATTOIR SERAIT-IL CAUSÉ PAR UNE BETTOLINA ? (JE PENSE TOUJOURS QUE JE)
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